Que cent mille grâces vous soient rendues, Sire, pour avoir suivi le conseil que j’osai vous prodiguer à l’issue de ma dernière Chronique : vous avez finalement dégagé. La fin joyeuse de votre règne électrique, ô Désopilante Majesté, me permet d’entamer avec sérénité cet ultime volume de vos prouesses, lequel va relater par le menu l’affreuseté de votre dernière année sur le Trône, matamoresque et dangereuse. P. R.Dans ce dernier volume des Chroniques du règne de Nicolas Ier, Patrick Rambaud fait ses adieux irrévérencieux...